samedi 2 mars 2013

ARDI-Photographies à l'Office de Tourisme de Caen : « Caen ville modèle pour un art : la collection photographique de l'ARDI », 19 février - 24 mars 2013 / Conférence A MINIMA à l'ESAM Cherbourg-Caen, 20 mars 2013






Du 19 février au 24 mars 2013, l’ARDI expose à l’Office de Tourisme de Caen 12 reproductions de photographies anciennes et contemporaines issues de sa collection, ayant pour thème la ville de Caen et ses monuments.







 Photos François Gosselin - ARDI



Cette exposition permet de poursuivre la collaboration avec l'Office de Tourisme de Caen autour de l'architecture patrimoniale et contemporaine de la ville et de sa représentation par la photographie. 

Entrée libre du lundi au samedi de 9 h 30 à 13 h 00 et de 14 h 00 à 18 h 00 (18 h 30 à partir du mois de mars).

Pour en savoir plus :

Remerciements à l'équipe de l'ARDI, et en particulier à Julie Clavel et à François Gosselin, pour sa numérisation et son impression de grandes qualités.




 
Photo Yannick Vigouroux,
« La presqu'ïle portuaire de Caen vue de l'ESAM, 20 mars 2013 »




Ma photographie de la série « Littoralités », réalisée septembre en 2003 avec une box 6 x 9 cm, montre les traînes de charbon des Combustibles de Normandie. Il ne reste aujourd'hui plus de trace de cela m'a ton dit, et la presqu'île industrialo-portuaire de Caen est en pleine métamorphose. Dix ans après cette prise de vue, j'y donnerai le 20 mars prochain une conférence sur la photographie, à l'école d'art de l'ESAM :
http://blogs.esam-c2.fr/design-graphique









Photos François Gosselin et Gilles Boussard : 
conférence "A MINIMA", ESAM Cherbourg-Caen, 
site de Caen, mercredi 20 mars 2013, 18 h00



 
Un site consacré à l'histoire de la presqu'île :







©  Yannick Vigouroux, « Caen, 2003 », 
série « Littoralités » (coll. de l'ARDI - Caen)




J'ai retrouvé ce petit texte : 

« Rue Fresnel à Caen, je me dirige vers le port industriel, cette presqu'île en friche boudée par les touristes. Je me retourne et le bâtiment « surgit », un ancien café qui n'est plus qu'un parallélépipède massif et maladroit, mal assuré sur ses fondations, étrangement bancal. Il ressemble à un bloc de pierres tordu, menaçant de s'effondrer, vestige d'un passé ouvrier révolu. J'ai moi-même travaillé ici, aux Combustibles de Normandie, en tant qu'aide-chaudronnier au début des années 1990.
Je viens seulement, plusieurs années après la prise de vue, de découvrir l'œil prophylactique du graffiti qui orne la porte obstruée. J'ai l'impression que ce n'est plus moi qui regarde la bâtisse, mais que c'est désormais elle qui m'observe, avec, j'ose espérer, bienveillance ?... »





Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire